oh jin il + to ten million fireflies i'm weird cause i hate goodbyes.

mon caractère ₪ « Véritable caméléon social, Jinil s'adapte aussi bien à la solitude qu'à une salle pleine à craquer. Il n'a pas de préférence entre les deux situations, se complaisant tout autant dans l'une que dans l'autre sans jamais se plaindre. Sa grande capacité d'adaptation est sans doute son plus grand atout : aucune situation ne viendra le bouleverser et il retombera toujours sur ses pattes. Rien n'est juste, Jin le sait et a appris à gérer cet aspect. Il n'ira pas jusqu'à affirmer qu'il accepte les évènements mettant embûche sur son chemin puisque que ce n'est que rarement le cas, mais il prend sur lui et va de l'avant. Hier figure dans le passé et demain est un jour qui attend son entrée avec impatience. Jinil fait ce qu'il veut quand cela lui chante et dit ce qui lui traverse l'esprit sans se ménager. La vie est trop courte pour se soucier des réactions possibles ou prévoir la moindre chose.

S'il aime dire les choses en face, Jin ne se gêne pas pour jouer les commères. Personne n'est parfait, après tout. Comme tout individu normal, il a un côté hypocrite qui se tient aux côtés de sa personnalité loyale. Si une amitié vaut quelque chose à ses yeux, il défendra son ami(e) sans une once d'hésitation face à un imbécile qui ose balancer de la merde sur le dos d'un(e) proche. Ce n'est pas une personne bien difficile à cerner.

Il est pratiquement possible de proposer n'importe quoi à Jinil et il sera partant. Pourquoi s'empêcher de faire quelque chose ? La seule raison pour laquelle il pourrait refuser une invitation est que l'activité lui déplait suffisamment pour ne pas avoir envie de voir ses amis. De ce fait, le pauvre se retrouve trop souvent la personne idéale vers qui les gens se trainent pour éviter d'aller à une fête quelconque tout seul. Ça ne le dérange pas plus que nécessaire puisqu'il adore la musique trop forte et s'enfiler des verres comme un jeune adulte cliché digne de ce nom. Outre cet esprit assez fêtard, Jin apprécie de manière aussi passionné fouiner son nez dans les bouquins médicaux. Rien ne le dégoûte. Un cadavre ? Rien de particulier. Si la vue d'un mort a causé quelques évanouissements durant un cours, lui a à peine bronché. Sur cet aspect, son entourage le qualifie de sans coeur puisqu'il parvient aisément à se détacher de la réalité pour faire ce qu'il a à faire. »